NISKY est l’Alias que Yu Yang a choisi et conçu et il correspond à la juxtaposition des dernières lettres des noms de Federico Fellini et de Krzysztof Kieslowski l’artiste rendant ainsi hommage à ses cinéastes favoris.
Né en 1989 à Shanghai, NISKY commence dès son plus jeune âge à couvrir des surfaces vierges de ses formes et figures destructives / constructives. Il s’initie à l’art graphique au lycée et à la peinture à l’Université. Ses œuvres, sous des formes très variables, s’inspirent souvent de ses compréhensions multiples des Beaux-Arts, de la musique, de la littérature et du cinéma.
Avant de se consacrer à l’Art et de rejoindre la Galerie DUMONTEIL, NISKY fonde à 18 ans son premier groupe de musique et il n’a cessé depuis de créer et d’explorer dans ce domaine. Pour lui, un artiste doit《se consumer》, non au sens de《s’épuiser》, mais de《s’enflammer》. Dans le domaine de la création picturale, il s’en tient à cette même philosophie adoptée envers la musique. Il envisage chaque peinture comme une chanson ; construisant ses toiles les unes à la suite des autres autour d’un thème d’exposition unique à chaque fois comme un album.
NISKY crée au sein d’un atelier peu conventionnel où seulement un mur est réservé à sa création artistique, alors que le reste de l’espace est occupé par des livres et des DVD. Il s’imprègne de la musique, de l’architecture, de la littérature, du cinéma et de la mode des années 1950/60. Fasciné par cette période, il lui semble que tout créateur actif a, à cette époque, bénéficié d’un privilège de révolution.
《Le studio d’enregistrement n’est qu’un de mes instruments》a dit Brian WILSON, du groupe The Beach Boys. Il en va de même pour NISKY pour qui la toile est sa console de commande, la bibliothèque son premier instrument et la mise en œuvre de divers《Métacollages》à travers son pinceau, la mélodie de son langage créatif unique.
Nouveau concept artistique que NISKY explore et nourrit de ses propres expériences, le《Métacollage》consiste à dépasser les frontières du collage. Il vise à former《une unité supérieur》entre des matières et des sujets de natures différentes et ce à partir d’une refonte de leurs《grammaires》afin d’atteindre la《fusion complète》. Dans cette démarche créative, l’artiste opte pour des matières et des sujets riches en contradictions et, par respect pour ces conflits, il renoue avec la tradition tout en lui donnant une nouvelle dynamique.
Après Le Labyrinthe Circulaire en 2013 et Le Paysage d’Entrelacement, en 2014, NISKY a fait évoluer son approche créatrice. Au bout d’une retraite de 2 ans et demi, il revient en 2017 avec deux expositions à Paris et à Shanghai. Pour lui l’exposition de Paris à la fois rétrospective et prospective, est une transition idéale entre ses expositions précédentes et celle à venir de Shanghai. Cette dernière, quant à elle, constituera une expérimentation totale et originale de《Métacollage》.
Né en 1989 à Shanghai, NISKY commence dès son plus jeune âge à couvrir des surfaces vierges de ses formes et figures destructives / constructives. Il s’initie à l’art graphique au lycée et à la peinture à l’Université. Ses œuvres, sous des formes très variables, s’inspirent souvent de ses compréhensions multiples des Beaux-Arts, de la musique, de la littérature et du cinéma.
Avant de se consacrer à l’Art et de rejoindre la Galerie DUMONTEIL, NISKY fonde à 18 ans son premier groupe de musique et il n’a cessé depuis de créer et d’explorer dans ce domaine. Pour lui, un artiste doit《se consumer》, non au sens de《s’épuiser》, mais de《s’enflammer》. Dans le domaine de la création picturale, il s’en tient à cette même philosophie adoptée envers la musique. Il envisage chaque peinture comme une chanson ; construisant ses toiles les unes à la suite des autres autour d’un thème d’exposition unique à chaque fois comme un album.
NISKY crée au sein d’un atelier peu conventionnel où seulement un mur est réservé à sa création artistique, alors que le reste de l’espace est occupé par des livres et des DVD. Il s’imprègne de la musique, de l’architecture, de la littérature, du cinéma et de la mode des années 1950/60. Fasciné par cette période, il lui semble que tout créateur actif a, à cette époque, bénéficié d’un privilège de révolution.
《Le studio d’enregistrement n’est qu’un de mes instruments》a dit Brian WILSON, du groupe The Beach Boys. Il en va de même pour NISKY pour qui la toile est sa console de commande, la bibliothèque son premier instrument et la mise en œuvre de divers《Métacollages》à travers son pinceau, la mélodie de son langage créatif unique.
Nouveau concept artistique que NISKY explore et nourrit de ses propres expériences, le《Métacollage》consiste à dépasser les frontières du collage. Il vise à former《une unité supérieur》entre des matières et des sujets de natures différentes et ce à partir d’une refonte de leurs《grammaires》afin d’atteindre la《fusion complète》. Dans cette démarche créative, l’artiste opte pour des matières et des sujets riches en contradictions et, par respect pour ces conflits, il renoue avec la tradition tout en lui donnant une nouvelle dynamique.
Après Le Labyrinthe Circulaire en 2013 et Le Paysage d’Entrelacement, en 2014, NISKY a fait évoluer son approche créatrice. Au bout d’une retraite de 2 ans et demi, il revient en 2017 avec deux expositions à Paris et à Shanghai. Pour lui l’exposition de Paris à la fois rétrospective et prospective, est une transition idéale entre ses expositions précédentes et celle à venir de Shanghai. Cette dernière, quant à elle, constituera une expérimentation totale et originale de《Métacollage》.