Né en 1952 à Limoges, Jean-Marie FIORI, diplômé de l’École Nationale des Beaux-arts, se consacre à la sculpture et plus particulièrement à la représentation de l’animal après avoir mené une carrière de peintre et réalisé de nombreux projets de décoration.
Dans son atelier peuplé de ses « bêtes », héritier des artistes réalistes de l’entre-deux-guerres, il travaille l’albâtre et le marbre en taille directe dont la matière subtilement translucide lui permet de développer son talent en donnant une résonance très riche à la couleur qui caractérise ses sculptures.
Jean-Marie FIORI adapte sa technique aux différents animaux qu’il portraiture, des lignes pures et lisse de l’oryx ou du panda au poil rugueux et accidenté du bélier et de l’ours.
Au fil des années il perfectionne sa maîtrise du bronze et enrichit son bestiaire imaginaire de pièces de design et d'installations monumentales.
En 1997, il est l’architecte de la « Tour aux bêtes » à Majorque et en 1999 du « Dolmen de Serris » pour Marne la Vallée. En 2000, il conçoit un zodiaque pour La Monnaie de Paris.
C’est à cette époque qu’il suscite l’admiration et l’amitié du décorateur Alberto Pinto. Il développe alors un langage plastique plus proche des Arts Décoratifs comme l’ont fait en leur temps, Claude et François-Xavier Lalanne. Il transforme les cerfs en chaises et le faucon en table avec une touche d’humour et d’originalité propre à son œuvre.
Pour l’immense variété de ses formes, la force donnée à ses sculptures et son travail délicat des pigments qui colorent ses œuvres, il est récompensé par le prix Edouard-Marcel Sandoz en 2009 et exposé au Musée des Années 30 de Boulogne en 2012.
En 2010, Jean-Marie FIORI est sélectionné par le Comité Officiel Chinois de l’Exposition Universelle de Shanghai pour créer un ensemble de mobilier urbain composé de cinq bancs. S’inspirant des codes traditionnels chinois, il réinterprète la tortue, le taureau, le tigre, le buffle et le canard.
Cette commande donne un souffle nouveau à son Art, lui offrant l’opportunité d’allier pour la première fois la noblesse du bronze à la force de la laque.
Emotions renouvelées qui donnent vie à une série de quatre têtes de Aras en 2013.
En 2014, il poursuit son travail monumental avec une « Arche aux oiseaux » pièce en bronze à l’architecture étonnante, suite de la série débutée avec le « Mur d’Adam et Eve », et compose un espace poétique original où l’Art et la nature se font écho.
A l’occasion du French May 2014 et de Art Basel Hong Kong, Jean Marie FIORI réalise une œuvre en bronze monumentale – Monument pour un cheval – exposée au cœur de Central au Statue Square.
Cette pièce est ensuite exposée à Beyrouth en septembre 2014 pour la Beirut Art Week devant le Gray Hôtel puis présentée pour la première fois à Paris lors du PAD 2015 au jardin des Tuileries.
En octobre 2014, une exposition rétrospective du travail du sculpteur lui est consacrée à la Galerie DUMONTEIL NY.
Dans son atelier peuplé de ses « bêtes », héritier des artistes réalistes de l’entre-deux-guerres, il travaille l’albâtre et le marbre en taille directe dont la matière subtilement translucide lui permet de développer son talent en donnant une résonance très riche à la couleur qui caractérise ses sculptures.
Jean-Marie FIORI adapte sa technique aux différents animaux qu’il portraiture, des lignes pures et lisse de l’oryx ou du panda au poil rugueux et accidenté du bélier et de l’ours.
Au fil des années il perfectionne sa maîtrise du bronze et enrichit son bestiaire imaginaire de pièces de design et d'installations monumentales.
En 1997, il est l’architecte de la « Tour aux bêtes » à Majorque et en 1999 du « Dolmen de Serris » pour Marne la Vallée. En 2000, il conçoit un zodiaque pour La Monnaie de Paris.
C’est à cette époque qu’il suscite l’admiration et l’amitié du décorateur Alberto Pinto. Il développe alors un langage plastique plus proche des Arts Décoratifs comme l’ont fait en leur temps, Claude et François-Xavier Lalanne. Il transforme les cerfs en chaises et le faucon en table avec une touche d’humour et d’originalité propre à son œuvre.
Pour l’immense variété de ses formes, la force donnée à ses sculptures et son travail délicat des pigments qui colorent ses œuvres, il est récompensé par le prix Edouard-Marcel Sandoz en 2009 et exposé au Musée des Années 30 de Boulogne en 2012.
En 2010, Jean-Marie FIORI est sélectionné par le Comité Officiel Chinois de l’Exposition Universelle de Shanghai pour créer un ensemble de mobilier urbain composé de cinq bancs. S’inspirant des codes traditionnels chinois, il réinterprète la tortue, le taureau, le tigre, le buffle et le canard.
Cette commande donne un souffle nouveau à son Art, lui offrant l’opportunité d’allier pour la première fois la noblesse du bronze à la force de la laque.
Emotions renouvelées qui donnent vie à une série de quatre têtes de Aras en 2013.
En 2014, il poursuit son travail monumental avec une « Arche aux oiseaux » pièce en bronze à l’architecture étonnante, suite de la série débutée avec le « Mur d’Adam et Eve », et compose un espace poétique original où l’Art et la nature se font écho.
A l’occasion du French May 2014 et de Art Basel Hong Kong, Jean Marie FIORI réalise une œuvre en bronze monumentale – Monument pour un cheval – exposée au cœur de Central au Statue Square.
Cette pièce est ensuite exposée à Beyrouth en septembre 2014 pour la Beirut Art Week devant le Gray Hôtel puis présentée pour la première fois à Paris lors du PAD 2015 au jardin des Tuileries.
En octobre 2014, une exposition rétrospective du travail du sculpteur lui est consacrée à la Galerie DUMONTEIL NY.